J. Léo

J.Léo

Photographe depuis l’adolescence, Jean-Léonard né en 1969 à Paris, alias, J.Léo a créé la série « Corps pour Elles » en 2016 et a connu un succès très rapide grâce à une  première exposition personnelle, en 2017 soit 1 an après, à l’Espace Carpeaux de Courbevoie, puis parmi le fine fleur des photographes émergents à FOTOFEVER à Paris en 2019. Depuis il est exposé en Galeries aux USA : Miami, Dallas, Los Angeles (Laguna Niguel), en Suisse, Belgique et en France à travers le réseau  de galeries Bel Air Fine Art, et Métamorphose, et depuis janvier 2022 en Australie pour pouvoir se développer sur les grandes métropoles asiatiques au travers du réseau de Lyons Galleries.

« Corps pour elles » présente le travail du photographe réalisé ces 6 dernières années sur le thème du bodyscape (littéralement corps-paysage). Il s’agit de se servir d’une partie du corps nu, ici exclusivement féminin, comme point de départ pour raconter des histoires et y placer des saynètes à l’aide de petites figurines et d’accessoires.
Agissant comme un trompe l’œil, la composition ainsi mise en scène apparaît au premier regard comme un authentique paysage. Mais en observant plus attentivement, on découvre que ce décor « naturel » est trompeur. Invariablement, le corps nu sert de fond tandis que des éléments artificiels le parent. Ces éléments sont des figurines de modélisme à l’échelle 1/87ème (personnages, animaux, éléments de décor avec parfois ajout de sable ou de fumée) qui prennent vie dans le décor qu’on leur attribue : désert aux dromadaires, brousse aux crocodiles et aux léopards, chantier aux ouvriers, jardin où l’on tond la pelouse, oasis où viennent s’abreuver des flamands roses, militaire faisant son quart… Le petit monde imaginaire de J.Léo prend vie sous sa direction et s’anime sur la chair du modèle.

J. Léo
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AUGUSTE Artiste

AUGUSTE
Artiste

Le Pop Art a toujours beaucoup fasciné, et a été adopté depuis bien longtemps. Auguste, bordelais de 45 ans, est l’un de ses représentants. Par le biais d’œuvres pop, mêlant icônes, super-héros, marques connues et couleurs vives, l’artiste permet à son public un retour en arrière, en le ramenant en plein cœur de sa jeunesse, de sa génération en lui rappelant sa madeleine de Proust.

Styles et époques sont associés, et laissent place à des œuvres hautes en couleur, très exhaustives. Auguste créé et réalise ses œuvres à base de différentes techniques, toujours dans l’envie de mixer plusieurs éléments entre eux ; peinture acrylique, numérique, collages,  vernis automobile, aluminium ou encore résine ou bronze.

AUGUSTE Artiste
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Michel Peeraer

Michel
Peeraer

Né en 1968 à Arlon, en Belgique, d’un père flamand et d’une mère luxembourgeoise, Michel Peeraer dirige depuis 1995 Everest Communication S.A, une agence de publicité qu’il a créée au Luxembourg, où il réalise de nombreux reportages photographiques pour ses clients.

C’est grâce à ses contacts avec divers photographes et artistes de renom qu’il s’est intéressé à l’art photographique et a commencé à explorer de nouvelles possibilités. Il développe son sens artistique et se perfectionne de manière autodidacte. Courant 2022, animé par sa vocation, il décide de se lancer à temps plein dans cette nouvelle carrière.

Aujourd’hui, Michel propose une vision différente et originale de ses passions. Il retravaille ses photographies et transpose ses traitements d’images sur des sujets qui l’animent : le motocross, mais aussi les animaux, en particulier les chiens. Le résultat ? Des photographies d’art uniques et intemporelles !

Michel Peeraer
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Emilie Teillaud

Emilie
Teillaud

Artiste autodidacte, Emilie Teillaud est sculptrice, peintre et illustratrice. Ses œuvres, poétiques, délicates et colorées, sont des odes aux sentiments et aux émotions. Elle met en mouvement l’amour charnel ou maternel, la tendresse, l’humilité, la fragilité, la dévotion à travers ses personnages aux corps généreux et libérés, enlacés dans des pauses spontanées et dans des halos oniriques.

La sensualité de ses réalisations, empreintes de douceur et d’énergie, est une invitation à prendre le temps de vivre, de ressentir et d’aimer.

Emilie Teillaud
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Maria De Campos

Maria de

Campos

Maria De Campos est une artiste peintre portugaise née en 1977, elle vit et crée aujourd’hui en France dans la Drôme.
Maria De Campos est élève de l’école Régionale des Beaux-Arts de Valence. Depuis elle se passionne pour les arts visuels, et notamment pour l’imagerie contemporaine.
Dans la peinture de Maria on retrouve de nombreuses influences, qui peuvent aller du Pop art à l’expressionnisme. Elle prend pour motif principal, voir récurrent, les grandes icônes du XX ème siècle, des portraits d’hommes et de femmes célèbre qu’elle retravaille par la couleur.
Dans son iconographie et son vocabulaire de célébrités, Maria De Campos veut briser les clichés que chacun peut avoir sur ses personnalités. Les visages sont traités avec mélancolie et poésie, dissimulés derrière de la couleur brute et des fragments de texte. Les toiles sont indéniablement contemporaines et d’actualité.

Maria de Campos
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D.H. Zimic

D.H.

Zimic

D.H ZIMIC est né en Croatie en 1960.

À la suite d’une formation à l’école des Arts Appliqués de Zagreb, il est diplômé en 1979.

Deux ans plus tard, il obtient un second diplôme en design de la faculté technologique de Zagreb.

Il expose ses travaux plastiques et graphiques d’abord lors d’expositions collectives dans différents lieux d’arts de la ville, avant sa première exposition personnelle à la Galerie SC en 1982.

Il s’installe à Paris en 1983 où il poursuit son activité artistique entre graphisme, design et peinture. Il est alors représenté par la Galerie du Passage de l’Horloge dans le IVème arrondissement.

Aujourd’hui, il a choisi de mettre son talent au service de sa passion, le sport automobile.

Depuis 2020, D.H. ZIMIC détient la licence officielle des 24H du Mans. Sa dernière exposition se tenait à la galerie de la boutique officielle des 24H du Mans à Paris. Deux de ses œuvres étaient mises aux enchères chez Artcurial à Paris en juin 2019 et à Monaco en juillet 2020.

Ses œuvres sont exposées à Paris, Luxembourg et Monaco.

D.H.Z.
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Didier de Radiguès

Didier
de Radiguès

Didier de Radiguès démarre sa carrière photographique à New-York pour ensuite très rapidement conquérir Singapore, Hong Kong, Paris et Bruxelles.

Aujourd’hui par ses photos il prouve que comme les vrais grands champions il a d’autres passions, de celles qui étonnent, qui surprennent! Sa photo, c’est à dire sa manière de photographier est ultra précise, classieuse et lumineuse… Un peu comme s’il voulait conduire son nouveau spectateur non pas vers la ligne d’arrivée mais vers de nouveaux rivages, de ceux qui fascinent son imaginaire.

DR
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Largo Winch Art Strips

Quelle volupté, pour un amateur de dessin, de voir le talent d’un artiste éclore, amplifier et évoluer au fil des années, des expositions ou des publications.

Le grand peintre Pierre-Auguste Renoir disait : « Ce dessin m’a pris cinq minutes mais j’ai mis soixante ans pour y arriver. » Philippe Francq n’a pas peut-être pas soixante ans de carrière derrière lui, mais il pratique, affine et améliore son art depuis quelques dizaines d’années déjà.

Les images fortes que vous allez découvrir ont été sélectionnées par l’artiste lui-même, parfois recadrées, voire même carrément redessinées. Volontairement, elles couvrent l’entièreté de la production des albums de Largo Winch, soit une trentaine d’années. Ces images iconiques sont autant de jalons d’une fantastique aventure à la fois graphique et humaine. Témoins d’une impressionnante évolution dans l’art si délicat du dessin, qui ont fait de Philippe Francq l’un des trésors de la bande dessinée internationale.

Vous les admirez terminées, mais, comme tous les autres dessins de Philippe, elles ont mis du temps à aboutir, à maturer, à voir le jour.

L’art de la bande dessinée, avec tout le talent d’illusionniste du dessinateur, touche ici au sublime. Avec les Largo Winch Art Strips, on sort du traditionnel sens de lecture (gauche à droite, haut en bas) pour s’immerger dans des scènes qui tiennent toutes seules, qui racontent une histoire sans qu’on ait besoin de savoir ce qui s’est passé avant ou ce qu’on lira après. Une image, c’est déjà toute une histoire, un univers complet. Et quand ces dessins sont nés sous la plume aventureuse de Philippe Francq, ils deviennent éternels.

A l’occasion des Largo Winch Art Strips, Philippe Francq a donc réalisé des arrêts sur image, des instantanés et décide de leur donner une vie propre, un propos narratif qui s’affranchit du scénario…
Considérer une image, sans texte, sans bulle, dialogue ni récitatif, c’est s’autoriser à inventer soi-même l’histoire que raconte cette image. C’est redonner de la place à sa propre imagination. Lorsque vous accrocherez l’une de ces oeuvres, elle vivra sa propre vie et c’est vous-même qui parerez cette image d’histoires qui vous appartiennent. Selon les jours et les humeurs, cette histoire changera, connaîtra des variantes. C’est la part d’invention que Philippe Francq vous propose d’exercer.

Avec les Largo Winch Art Strips, le narrateur, dorénavant, c’est vous !

LWAS
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Bruno Boffa

Bruno
Boffa

Né à Ixelles en juin 1968 il s’est passionné pour les voitures et les arts plastiques depuis l’enfance.

Ses études artistiques à Saint-Luc Bruxelles l’ont d’abord dirigé pendant 25 ans comme graphic designer en agence de publicité. En 2016, il décide de se consacrer entièrement à ses passions.

Inspiré par le Pop et le Street Art, c’est alors qu’il réalise ses premières compositions et crée Legend & Gentlemen Drivers.

Superpositions photographiques composées chacune d’un mixte d’au moins une vingtaine d’images sur des thèmes dont les légendes du sport automobile mais également celles du cinéma et des séries télévisées qui ont bercé notre enfance … ou encore une série de nus et un thème ethnique très coloré. Le tout agrémenté de draping, graffitis, dorure à la feuille d’or, collages, papiers découpés … avec un raffinement qui lui est propre.

Les fonds photographiques de ses créations proviennent généralement de tags ou graffitis Street Art qu’il prend en photo lors de ses voyages eu Europe ou aux Etats-Unis.

Une finition composée d’un laquage de 2 couches de vernis permet de donner cette profondeur et cette luminosité particulière à l’œuvre. Chaque réalisation de base est alors produite en série limitée, signée et numérotée, jusqu’à maximum 7 exemplaires.

Le tableau terminé il décline aussi son œuvre sur des objets en 3D, comme sur des personnages design en résine. Ou alors ce christ du début du siècle transformé façon Pop Art. Il collabore également avec l’Artiste français Jacky Jayet qui lui à confié un de ses ours pour le revisiter.

BB
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Thierry Poncelet

Thierry
Poncelet

Il aurait pu rejoindre la famille des peintres animaliers traditionnels et bâtir une carrière sur l’illustration d’ouvrages dédiés à ces chiens qu’il affectionne tant. Il aurait tout aussi bien pu se consacrer à la peinture de commande et immortaliser pour leurs propriétaires des spécimens racés à poils longs ou ras. Mais Thierry Poncelet a choisi une autre voie qui, sans renier son intérêt pour la gent canine, s’est trouvée plus en accord avec une passion pour la peinture classique et un sens de l’humour teinté d’irrévérence.

Né à Bruxelles en 1946, il étudie aux Beaux-Arts et à Saint-Luc avant d’entrer dans l’atelier de Max Massot où il pratique la peinture à l’huile et se forme à la restauration de tableaux anciens. Dans cette discipline ardue qui implique une connaissance approfondie des techniques picturales des siècles passés, Thierry Poncelet fait montre d’un talent certain et acquiert rapidement une solide réputation, notamment dans la restauration de portraits. L’aventure des « aristochiens » naît un jour de la confrontation avec un portrait d’aristocrate à la physionomie particulièrement ingrate. Impulsivement, notre restaurateur peint en lieu et place du laid visage, la tête d’un chien. Métamorphose qui se révèle du plus bel effet et offre un exutoire à la créativité de l’artiste.

Le genre n’est certes pas nouveau et se situe dans la tradition des créatures hybrides, mihomme mi-animal, qui peuplent l’imaginaire depuis la nuit des temps. De nombreux artistes ont en effet trouvé dans cette dualité un moyen d’accentuer certains types, des traits de caractère ou plus généralement de survoler la psychologie humaine en quelques archétypes bien campés. Thierry Poncelet se situe ainsi dans la droite lignée d’un Charles Lebrun ou d’un Isidore Granville, dont les Métamorphoses du jour (1828-29) connurent un succès retentissant et inspireront notamment les surréalistes.

TH. P
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